Namibie : information sur le peuple héréro, dont ses croyances religieuses et sa pratique de la coutume du [traduction] « feu sacré »; les pratiques de sorcellerie et d’idolâtrie; le transfert du rôle de chef religieux dans la tradition héréro et les conséquences si l’héritier prévu refuse d’assumer ce rôle; la situation actuelle des Héréros; information indiquant si certains d’entre eux ont adopté un mode de vie non traditionnel dans des centres urbains comme Windhoek [NAM104027.EF]

Direction des recherches, Commission de l’immigration et du statut de réfugié du Canada, Ottawa

1. À propos des Héréros

Les Héréros [également connus sous le nom de Ovaherero (Namibian Sun 16 févr. 2012)] sont une minorité ethnique de la Namibie (IPS 6 oct.2011; MRG s.d.; professeur 6 mars 2012). Selon le World Factbook de l’Agence centrale de renseignement (Central Intelligence Agency - CIA) des États-Unis, les Héréros représentent 7 p. 100 de la population de la Namibie, estimée à 2 165 828 personnes (É.-U. 10 févr. 2012). D’autres sources font état du fait que les Héréros représentent entre 6 p. 100 (MRG s.d.) et 10 p. 100 (AP 4 oct.2011) de la population.

Dans une communication écrite envoyée à la Direction des recherches, une employée du Centre d’aide juridique (Legal Assistance Centre - LAC) de Windhoek, qui s’exprimait en tant que femme héréro qui travaille dans la capitale du pays pour un cabinet d’avocats spécialisé en droit public qui défend les droits de la personne (LAC s.d.), a expliqué que les Héréros n’ont aucune différence physique comparativement à d’autres groupes ethniques de la Namibie; leurs différences sont plutôt culturelles et linguistiques (employée 8 mars 2012). Elle a ajouté que la plupart des Héréros viennent d’endroits comme Omaheke, Okakarara, Omaruru et Okandjatu, ce qui permet également de les identifier comme Héréros (ibid.).

Traditionnellement, les Héréros élèvent du bétail et ont un mode de vie nomade (Online Guide to Namibia s.d.; MyFundi s.d.; AP 4 oct.2011). D’après l’Associated Press (AP), avant la colonisation allemande, environ 85 000 Héréros occupaient le tiers du pays avec des [traduction] « dizaines de milliers » de bêtes (4 oct.2011). Cependant, plusieurs médias signalent que, au début du XXe siècle, les Allemands ont mené une campagne de [traduction] « génocide » contre les Héréros (Namibian Sun 1er nov.2011; IPS 6 oct.2011; AP 4 oct.2011). Quelque 75 p. 100 du peuple héréro a été exterminé par mesure de représailles à la suite d’une tentative de soulèvement contre les Allemands en 1904 (Nations Unies 16 août 2004; Online Guide to Namibia s.d.; IPS 6 oct.2011). En outre, les Héréros ont perdu une bonne partie de leurs terres et de leur bétail (AP 4 oct.2011; MyFundi s.d.), et bon nombre d’entre eux se sont réfugiés au Botswana (ibid.; IPS 6 oct.2011), où ils continuent de vivre (ibid.). Les Héréros tentent d’obtenir réparation de la part des Allemands pour les actes que ces derniers ont commis contre leurs ancêtres (Nations Unies 16 août 2004; MRG s.d.), ainsi que la restitution des crânes de Héréros qui ont été emportés en Allemagne pour des expériences scientifiques sur la race (IPS 6 oct.2011; AP 4 oct.2011).

2. Religion héréro et coutume du [traduction] « feu sacré »

Dans une communication écrite envoyée à la Direction des recherches, un représentant de l’organisme de défense des droits de la personne Droits et responsabilités de la Namibie (Namibian Rights and Responsibilities - NAMRIGHTS), de Windhoek, a expliqué que la religion héréro (Oupwee) suit les règles sacrées d’un être suprême connu dans différents contextes sous le nom de [traduction] « Ndjambi, Karunga, Musiss, Kaheua, Nguvitjita, Karivangera et Kapurua » (15 mars 2012). Des sources signalent également que les Héréros croient en un [traduction] « être suprême » appelé Njambi (ou Nyambi) Karunga (my-beautiful-namibia.com s.d.; MyFundi s.d.; Online Guide to Namibia s.d.). Selon un site Internet où l’on trouve de l’information de voyage sur la Namibie, les traditionalistes héréros croient que la vie vient de Njambi Karunga, qui est [traduction] « celui qui fait tout le bien [et] est vénéré pour sa bonté », en plus d’être celui qui [traduction] « vit au paradis et sait tout » (my-beautiful-namibia.com s.d.). Le représentant de NAMRIGHTS a précisé que seuls les grands prêtres de cérémonie peuvent invoquer Njambi au cours de [traduction] « rituels religieux [en temps de] calamités, catastrophes, famine, maladie ou décès » (15 mars 2012).

Certaines sources soulignent que la religion héréro d’aujourd’hui combine des aspects du christianisme avec des pratiques traditionnelles (my-beautiful-namibia s.d.; MyFundi s.d.; Online Guide to Namibia s.d.). Plusieurs sources signalent que le culte religieux héréro est axé sur les ancêtres (ibid.; professeur 6 mars 2012; MyFundi s.d.). Dans une communication écrite envoyée à la Direction des recherches, un professeur de langue et littérature à l’Université de la Namibie, qui est lui-même Héréro, a expliqué : [traduction] « [N]ous croyons que nos ancêtres ont rejoint Dieu au paradis après la mort, [et] nous vénérons Dieu par l’intermédiaire de nos ancêtres » (professeur 6 mars 2012).

Les pratiques des Héréros comprennent l’entretien d’un [traduction] « feu sacré » (ibid.; employée 8 mars 2012; Namibian Sun 31 août 2011), qui est également connu sous les noms de omuriro omurangere (my-beautiful-namibia.com s.d.), [traduction] « feu sacré » (MyFundi s.d.), [traduction] « feu ancestral » (LAC 2005, 58) et [traduction] « lieu de culte sacré » (professeur 6 mars 2012). Le professeur, qui préférait le terme [traduction] « lieu de culte sacré » et qui l’a comparé à une église dans la culture occidentale, a expliqué que c’est l’endroit où les Héréros vénèrent Dieu (ibid.). Le représentant de NAMRIGHTS a également désigné le feu sacré sous l’appellation d’endroit [traduction] « sacré » pour faire des prières et célébrer des cérémonies comme des mariages, des enterrements et des baptêmes, ainsi que pratiquer les rituels de préparation à la circoncision, de passage à l’âge adulte et ceux pour accueillir une future mariée (15 mars 2012). Les cérémonies liées au feu sacré impliqueraient l’utilisation de cendres ou d’eau pour purifier le sujet des [traduction] « mauvais esprits ou signes diaboliques [et apporter] la prospérité, la santé et la chance » (NAMRIGHTS 15 mars 2012).

Le professeur a dit que la fumée qui monte du feu sacré [traduction] « symbolise un lien entre nous, nos ancêtres et Dieu » (ibid.). D’autres sources décrivent le feu sacré comme symbolisant le cadeau de la vie qui vient des ancêtres (my-beautiful-namibia.com s.d.). Le feu sacré est donc un [traduction] « lien symbolique entre les vivants et les morts » (ibid.), [traduction] « le moyen de communication des vivants avec l’esprit de leurs ancêtres » (Namibian Sun 31 août 2011) et un symbole de [traduction] « vie, fertilité et prospérité » (Online Guide to Namibia s.d.).

D’après le site Internet South African Encyclopedia de MyFundi , chaque unité de clan de village héréro entretenait traditionnellement son propre feu sacré, qui était surveillé par un homme âgé et chef de l’unité qui avait une autorité religieuse et politique (s.d.). L’employée héréro qui travaille au LAC a souligné que, aujourd’hui, le feu sacré se trouve dans une [traduction] « maison principale » dans les zones rurales (employée 8 mars 2012). Selon un chef traditionnel héréro haut placé, comme le signalait le média New Era , qui appartient au gouvernement, les rituels associés à un feu sacré ne peuvent être accomplis que par des personnes dont le nom de famille est lié au groupe d’ancêtres du feu sacré, et par des frères cadets lorsqu’ils sont en présence de leur frère aîné (31 août 2011). Le professeur a affirmé que le feu sacré doit brûler au lever et au coucher du soleil, mais qu’il n’a pas besoin d’être allumé tout au long de la journée (6 mars 2012).

Des médias namibiens font état d’une controverse qui a eu lieu en août 2011, pendant laquelle un feu sacré a été déplacé du commando du drapeau rouge d’Okahandja (New Era 31 août 2011; Namibian Sun 31 août 2011), site où les descendants du regretté chef Samuel Maharero faisaient brûler un feu sacré pour commémorer leur ancêtre depuis 1923 (ibid.). Les chefs du clan Maharero ont considéré la relocalisation du feu par un groupe de Héréros qui ne faisaient pas partie de leur clan comme une [traduction] « "profanation" » de la tradition héréro (ibid.).

3. Sorcellerie et idolâtrie

Deux sources précisent que la religion héréro n’implique pas d’idolâtrie (professeur 6 mars 2012; NAMRIGHTS 15 mars 2012). Le représentant de NAMRIGHTS a maintenu que la religion héréro ne comporte pas de sorcellerie (ibid.). Il a souligné que l’on a recours aux guérisseurs traditionnels dans la culture héréro pour régler des problèmes de santé, mais que ces pratiques ne sont pas liées à la sorcellerie (ibid.). Cependant, de l’avis du professeur, même si la sorcellerie n’était pas traditionnellement pratiquée par les Héréros, les guérisseurs traditionnels héréros d’aujourd’hui, influencés par d’autres cultures, ont maintenant recours à certaines formes de sorcellerie (professeur 6 mars 2012). Il a souligné que la pratique héréro de la sorcellerie est généralement utilisée soit [traduction] « pour "ensorceler" une personne pour qu’elle tombe malade ou qu’elle meure », ou pour guérir une personne gravement malade (ibid.). D’autres sources signalent que les traditions héréros comportent de la [traduction] « sorcellerie » (MyFundi s.d.) ou de la [traduction] « magie » (Online Guide to Namibia s.d.), bien qu’elles n’aient pas fourni de détails.

4. Transfert du rôle de chef religieux héréro

Des sources soulignent que le rôle de chef religieux héréro se transmet du côté paternel de la famille (professeur 6 mars 2012; Online Guide to Namibia s.d.; MyFundi s.d.). D’après un rapport de 2005 sur le droit coutumier de la succession produit par le LAC, le rôle de gardien du feu sacré est le plus souvent transmis au fils aîné de la première femme, mais un fils cadet ou un neveu peut être nommé si le successeur est considéré comme [traduction] « inapte » (58-59). Le représentant de NAMRIGHTS a précisé que le fils aîné hérite du feu sacré de son père, mais que, si le père n’a aucun fils, le fils aîné de la sœur du père [traduction] « recevra une flamme qu’il emportera […] chez lui pour allumer le même feu sacré » (15 mars 2012). Pour sa part, le professeur a toutefois expliqué ainsi les pratiques héréros de la succession :

[traduction]

Dans la culture héréro, le rôle de chef se transmet du père à celui de ses frères qui le suit dans la hiérarchie familiale en fonction de l’âge, de sorte qu’il se transmet du frère aîné au frère cadet. Lorsque cet ordre a été suivi et qu’il n’y a plus de frère à qui le transmettre, le rôle de chef est transmis au fils aîné du frère aîné (professeur 6 mars 2012).

Il a fait observer que, en héréro, le mot [traduction] « "fils" » est employé à la fois pour désigner un fils et un neveu, de sorte qu’un neveu appelle son oncle [traduction] « "grand père" » (s’il est plus âgé que son père) ou [traduction] « "petit père" » (s’il est plus jeune que son père) (ibid.).

Le gardien du feu passe parfois par-dessus un successeur traditionnel pour recommander un homme plus jeune de la famille à sa place (ibid.; LAC 2005, 58-59). On peut lire dans le rapport du LAC que les instructions du gardien sont souvent suivies dans ce genre d’éventualité, car bon nombre sont ceux qui croient que, si ses volontés ne sont pas respectées, cela portera [traduction] « malheur » (2005, 58-59). Le professeur a cependant affirmé que, [traduction] « dans certains cas, la famille respecte cette décision, tandis que dans d’autres cas, elle revient à ce que serait la succession traditionnelle » (6 mars 2012). Selon le représentant de NAMRIGHTS, le successeur doit être un fils légitime et non un enfant né hors mariage (15 mars 2012).

Parmi les sources qu’elle a consultées, la Direction des recherches a trouvé peu d’information sur les conséquences du refus d’assumer le rôle de chef religieux et celui de gardien du feu sacré. Selon le professeur, [traduction] « si c’est au tour d’une personne d’assumer le rôle de chef et qu’elle ne le veut pas, elle sera excusée et le rôle reviendra à celui qui la suit dans l’ordre de succession » (6 mars 2012). Le représentant de NAMRIGHTS a également dit que, si le successeur refuse d’assumer le rôle de chef, les aînés du clan assigneront le rôle à un frère cadet ou à un neveu (15 mars 2012).

5. Situation actuelle des Héréros

Des médias précisent que le peuple héréro en Namibie est marginalisé (IPS 6 oct.2011; AP 4 oct.2011). Le directeur de l’ONG NAMRIGHTS de Windhoek a déclaré que les régions habitées par les Héréros sont moins développées que d’autres régions de la Namibie, que les écoles et les hôpitaux sont en mauvais état, et que les routes ne sont pas asphaltées (AP 4 oct.2011). La directrice de la Ligue de la jeunesse héréro (Herero Youth League ) a affirmé que dans 50 p. 100 des ménages héréros se trouve un jeune sans emploi (ibid.). De même, le professeur a exprimé des préoccupations relativement à l’emploi (6 mars 2012). Il a souligné que [traduction] « la plupart des emplois sont occupés par des "groupes de l’élite" issus dans la plupart des cas du groupe majoritaire qui domine la politique » (professeur 6 mars 2012). Selon l’AP, certains Héréros sans terre menacent de s’emparer des terres arables que cultivent les descendants des colons blancs qui les leur ont prises il y a plus d’un siècle (4 oct.2011). Parmi les sources qu’elle a consultées dans les délais fixés, la Direction des recherches n’a trouvé aucune autre information allant en ce sens. Le représentant de NAMRIGHTS a cependant exprimé des préoccupations à propos de la situation des droits des Héréros en Namibie, et a affirmé que leurs [traduction] « droits traditionnels ancestraux » sont violés, qu’ils ont besoin d’un plan de développement [traduction] « à long terme » pour améliorer leur niveau de vie, ainsi que d’une institution à l’écoute de leurs besoins pour régler le problème de leur perte de richesse et de biens (15 mars 2012).

6. Héréros dans les zones urbaines

Des sources soulignent que certains Héréros vivent dans des zones urbaines, dont Windhoek, mais gardent un contact étroit avec leur communauté d’origine (employée 8 mars 2012; directeur 29 févr. 2012). L’employée héréro du LAC (8 mars 2012) et le professeur (6 mars 2012) font tous les deux remarquer que les feux sacrés ne sont pas gardés dans les zones urbaines, et que de nombreux Héréros retournent dans leur communauté d’origine pour pratiquer des rituels liés au feu sacré ou participer à des cérémonies de mariage. L’employée du LAC a souligné que de nombreux Héréros continuent à pratiquer leur culture dans les zones urbaines, bien que certaines pratiques soient modifiées, comme l’adaptation des habits traditionnels à la vie moderne pour les femmes âgées de moins de 60 ans et l’ajout de légumes et de féculents au régime traditionnel (employée 8 mars 2012). Certains Héréros qui déménagent en zone urbaine se convertiraient au christianisme (ibid.; professeur 6 mars 2012), ou cessent de pratiquer la religion traditionnelle (ibid.; NAMRIGHTS 15 mars 2012).

Cette réponse a été préparée par la Direction des recherches à l’aide de renseignements puisés dans les sources qui sont à la disposition du public, et auxquelles la Direction des recherches a pu avoir accès dans les délais fixés. Cette réponse n’apporte pas, ni ne prétend apporter, de preuves concluantes quant au fondement d’une demande d’asile. Veuillez trouver ci-dessous les sources consultées pour la réponse à cette demande d’information.

Références

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Directeur, Department of Linguistics, School of Oriental and African Studies, University of London . 29 février 2012. Communication écrite envoyée à la Direction des recherches.

Employée, Legal Assistance Centre , Windhoek. 8 mars 2012. Communication écrite envoyée à la Direction des recherches.

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MyFundi . S.d. « The Herero ». South African Encyclopedia / Suid-Afrikaanse Ensiklopedie . Rédactrice en chef Linda Roos. <http://myfundi.co.za/e/The_Herero> [Date de consultation : 1er mars 2012]

Namibian Sun [Windhoek]. 16 février 2012. « Pohamba, Ovaherero Meeting Hits Snag ». <http://sun.com.na/content/national-news/pohamba-ovaherero-meeting-hits-snag> [Date de consultation : 1er mars 2012]

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_____. 31 août 2011. Lorraine Kazondovi. « Maharero Ready to Die over “Holy Fire” Dispute ». <http://www.namibiansun.com/content/local-news/maharero-ready-die-over-’holy-fire’-dispute> [Date de consultation : 6 mars 2012]

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Nations Unies. 16 août 2004. Réseaux d’information régionaux intégrés (IRIN). « Namibia: Germany Rules Out Reparations but Offers Aid ». <http://www.irinnews.org/printreport.aspx?reportid=51042> [Date de consultation : 1er mars 2012]

New Era [Windhoek]. 31 août 2011. Magreth Nunuhe. « Namibia: Holy Fire Relocation Triggers Storm ». <http://allafrica.com/stories/printable/201108310622.html> [Date de consultation : 1er mars 2012]

The Online Guide to Namibia and Travel Boutique . S.d. « The People of Namibia: Information on Ethnic Groups ». Windhoek: Elena Travel Services and Car Hire CC . <http://www.namibweb.com/people.html> [Date de consultation : 28 févr. 2012]

Professeur, Department of Language and Literature Studies, University of Namibia . 6 mars 2012. Communication écrite envoyée à la Direction des recherches.

Autres sources consultées

Sources orales : Les tentatives faites pour joindre un professeur de l’University of Leiden et un représentant de Otjiherero Radio ont été infructueuses. Deux professeurs, de la Saint Lawrence University et du Dartmouth College , n’ont pas pu fournir de renseignements.

Sites Internet, y compris : Africa Confidential; AfricaFiles; Africa Research Bulletin; Afrik-News; AllAfrica ; Amnesty International; ecoi.net; Europa World Plus ; Factiva; Fédération internationale des ligues des droits de l’homme; Freedom House; Human Rights Watch; National Society for Human Rights ; Nations Unies – Refworld, ReliefWeb .

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