Hungary: Traditional Roma names; name-changing practices after marriage; languages spoken by Roma, including variations in spoken Hungarian (2015-December 2017) [HUN106036.E]

Hongrie : information sur les noms roms traditionnels; les pratiques en matière de changement de nom après le mariage; les langues parlées par les Roms, y compris les variantes dans la langue hongroise parlée (2015-décembre 2017)

Direction des recherches, Commission de l’immigration et du statut de réfugié du Canada, Ottawa

1. Noms roms traditionnels

Dans une communication écrite envoyée à la Direction des recherches, Tamás Farkas, linguiste à l’Université Eötvös Loránd à Budapest (Országos Doktori Tanács 2017), a signalé que les noms de famille les plus courants et les plus typiques des Roms en Hongrie sont d’origine hongroise sur le plan linguistique (Farkas 21 déc. 2017). La même source a ajouté [traduction] « [qu’]il n’est pas aussi facile » de distinguer les noms roms des noms du reste de la population hongroise « qu’il est possible de le faire avec d’autres minorités nationales ou ethniques » (Farkas 21 déc. 2017). Toutefois, la même source a affirmé que, si on examine le nom complet d’une personne, il y a des prénoms qui font en sorte [traduction] « [qu’]il est bien évident que la personne appartient à la population rom » (Farkas 20 déc. 2017). La même source a donné, à titre d’exemples, les noms « Kolompár Ramóna » et « Lakatos Rikárdó » (Farkas 20 déc. 2017).

D’après un article de 2013 sur la fréquence des noms de famille ethnonymiques dans la langue hongroise, rédigé par Tamás Farkas, le nom de famille le plus courant [traduction] « d’origine roumaine/tzigane/hongroise » en Hongrie est « Móré », qui signifie « roumain, tzigane » (Farkas 2013, 506). Toutefois, selon la même source, le nom [traduction] « Móré […] peut être d’origine hongroise, roumaine ou tzigane » et « peut provenir de diverses langues originales » (Farkas 2013, 506). La proportion de gens qui portent le nom « Móré » par rapport à l’ensemble de la population de la Hongrie est de 0,01 p. 100 (Farkas 2013, 506). D’après Tamás Farkas, il est possible que, en plus de « Móré », les noms « Bangó », « Lolé » et « Pusoma » aient une origine rom sur le plan linguistique, [traduction] « mais il se peut qu’ils proviennent tous de la langue hongroise également, et ces noms ne sont pas si fréquents [en Hongrie] » (Farkas 20 déc. 2017).

Tamás Farkas a déclaré que [traduction] « la société croit que les noms de famille rom les plus typiques » sont les suivants : « Horvát(h) », « Balog(h) », « Lakatos », « Orsós », « Oláh » et « Kolompár » (Farkas 20 déc. 2017). Il a aussi signalé que les noms de famille « Horvát(h) » et « Balog(h) » ne sont pas typiquement roms, car ils sont courants en Hongrie de manière générale (Farkas 20 déc. 2017). D’après la même source, les noms « Lakatos » et « Oláh » sont [traduction] « assez fréquents », mais « semblent être surreprésentés parmi les Roms en Hongrie » (Farkas 20 déc. 2017). Les noms « Orsós » et « Kolompár » sont [traduction] « particulièrement reconnus comme étant des noms de famille roms » (Farkas 20 déc. 2017).

Parmi les sources qu’elle a consultées dans les délais fixés, la Direction des recherches n’a trouvé aucun autre renseignement allant dans le même sens. Pour obtenir de l’information sur les noms traditionnels roms en Hongrie avant avril 2006, veuillez consulter la Réponse à la demande d’information HUN101156 publiée en avril 2006.

1.1 Changement de nom après un mariage

Des sources soulignent que, en hongrois, le nom de famille précède le prénom (Fercsik 2010, 1; INTERPOL mars 2006, 15). D’après le guide Lonely Planet consacré à Budapest et à la Hongrie, de nombreuses Hongroises [traduction] « suivent la pratique consistant à adopter le nom complet de leur époux » (Lonely Planet juill. 2017). Des sources affirment que les Hongroises peuvent adopter le nom complet de leur époux après le mariage et ajouter le suffixe « né » au prénom de l’époux (INTERPOL mars 2006, 15; Fercsik 2010, 1). Dans un exposé de 2010 sur les formes traditionnelles et modernes du nom marital des Hongroises, Erzsébet Fercsik, linguiste à l’Université Eötvös Loránd à Budapest (Országos Doktori Tanács 2013), explique que si, par exemple, « Nagy Mária » épousait « Kis János », son nom complet deviendrait, suivant cette pratique, « Kis Jánosné » (Fercsik 2010, 1).

Selon un ouvrage publié en 2006, intitulé A Guide to Names and Naming Practices, produit par le Royaume-Uni et publié par l’Organisation internationale de police criminelle (INTERPOL), les Hongroises mariées disposent de plusieurs options en ce qui a trait au changement de leurs noms :

  • garder leur nom de jeune fille;
  • utiliser le prénom de leur époux en y ajoutant le suffixe « né », tout en conservant leur nom de jeune fille au complet;
  • utiliser le nom de famille de leur époux en y ajoutant le suffixe « né », tout en conservant leur nom de jeune fille au complet;
  • utiliser les initiales du nom de famille de leur époux, tout en conservant leur nom de jeune fille au complet;
  • utiliser leur prénom et le nom de famille de leur époux (INTERPOL mars 2006, 15).

D’après Lonely Planet, la pratique consistant à ajouter le suffixe « né » au nom de famille de l’époux tout en conservant le nom de jeune fille au complet est de plus en plus populaire chez les professionnelles en Hongrie (Lonely Planet juill. 2017).

Tamás Farkas a signalé que toute personne ayant apporté un changement à son nom après s’être mariée doit veiller à ce que ses documents officiels soient modifiés en conséquence (Farkas 20 déc. 2017). Parmi les sources qu’elle a consultées dans les délais fixés, la Direction des recherches n’a trouvé aucun autre renseignement allant dans le même sens.

2. Langues parlées par les Roms

Selon le recensement de 2011 du Bureau central de statistique de la Hongrie (Központi Statisztikai Hivatal - KSH), 54 339 personnes avaient pour langue maternelle soit le romani ou le beás, comparativement à 48 438 personnes en 2001 (Hongrie 2011). Selon la même source, en 2011, 61 143 personnes parlaient soit le romani ou le beás avec les membres de leurs familles ou leurs amis, comparativement à 53 075 en 2001 (Hongrie 2011).

Des sources signalent que les Roms hongrois se répartissent en trois groupes linguistiques : les Romungros [Rumungri], les Tziganes vlachs et les Boyash (Kemény 200, 282; Hongrie s.d.). D’après Tamás Farkas, [traduction] « les trois principaux groupes » de Roms en Hongrie sont les Romungros, les Oláh et les « Boyash ou Roms roumains » (Farkas 20 déc. 2017).

Des sources affirment que la plupart des Romungros [Rumungri], une communauté rom en Hongrie, ont pour langue maternelle le hongrois (Marushiakova et Popov 2016; Lakatos 2008, 45; Farkas 20 déc. 2017). Selon un article de 2016 sur la population rom en Hongrie, rédigé par István Zoltán Pásztor et al. [1], les Romungros sont aussi désignés sous le nom de [traduction] « Roms hongrois », habitent la Hongrie depuis des siècles et représentent environ 70 p. 100 de la population rom en Hongrie (Pásztor et al. 2016, 8). D’après la même source, le hongrois est leur langue maternelle depuis des générations et, [traduction] « [a]u moment des recensements, la majorité d’entre eux se disent Hongrois, et non Roms » (Pásztor et al. 2016, 8). Des sources affirment que certains Romungros, surtout dans le Nord-Est de la Hongrie, parlent le romani (Marushiakova et Popov 2016) ou que [traduction] « des membres de certains groupes [romungros] parlent toujours le dialecte carpatique de la langue romani » (Lakatos 2008, 45).

Dans un article en date de 2008, rédigé par Szilvia Lakatos, professeure auxiliaire à l’Université de Pécs (University of Pécs s.d.), et publié par l’Université de Pécs dans le cadre de Société et modes de vie (Society and Lifestyles - SAL), un projet de recherches qui regroupe 15 partenaires dans 10 pays et qui porte sur les valeurs et les croyances de diverses communautés en Europe de l’Est, y compris les Roms (SAL 20 mars 2009), on peut lire que le dialecte carpatique de la langue romani est aussi parlé dans deux [traduction] « communautés traditionnelles [de Roms] » à Csobánka, dans le comté de Pest, et à Versend, dans le comté de Baranya (Lakatos 2008, 45). Dans un livre paru en 2005 et intitulé Roma of Hungary, le sociologue hongrois István Kemény (IdRef s.d.) a rédigé un chapitre où il signale que le dialecte carpatique est également parlé, avec le hongrois, par certains Roms du comté de Nógrád, du comté de Baranya et dans les collines de Pilis (Kemény 2005, 15).

Selon des sources, les Vlachs [Vlachi, Vlah, Vlax] sont un groupe bilingue (Hongrie s.d.; Kemény 2002, 28), dont 21 p. 100 parlent des dialectes de la langue romani (Hongrie s.d.). D’après Rombase, un site Internet consacré à [traduction] « la situation socioculturelle et sociohistorique des Roms » qui est soutenu par la Communauté européenne et l’Académie autrichienne des sciences (Rombase janv. 2004), les Vlachs sont aussi appelés les Roms valaques (Rombase févr. 2003, 6). Szilvia Lakatos précise que le dialecte lovari [lovara] de la langue romani est parlé par la plupart des Roms valaques, y compris ceux qui utilisent un autre dialecte au sein de leur famille, et que le lovari [traduction] « est largement perçu et reconnu comme étant la lingua franca de plusieurs groupes différents » (Lakatos 2008, 45). De même, dans l’article d’István Zoltán Pásztor et al., on peut lire que :

[traduction]

Les Roms valaques sont venus en Hongrie de la Valachie au cours du 19e siècle et ils représentent environ 21 [p. 100] de la population rom totale en Hongrie. Aujourd’hui encore, la plupart d’entre d’eux parlent leur langue - le dialecte lovari de la langue romani (Pásztor et al. 2016, 8).

Sans fournir de précisions, István Kemény affirme que le dialecte gurvari de la langue romani est parlé dans le comté de Szabolcs et dans la région de Szatmár (Kemény 2005, 15). D’après Romlex, une base de données lexicales électronique qui renferme un lexique de base de la langue romani (Romlex s.d.a) [2], le dialecte gurvari de la langue romani [traduction] « a absorbé de nombreuses influences vlax et, par conséquent, peut être considéré comme étant une variante transitionnelle » (Romlex s.d.b).

Les Boyash [Bayash] sont bilingues eux aussi et parlent le hongrois et le roumain (Kemény 2002, 28), ou le hongrois et des dialectes [traduction] « archaïques » de la langue roumaine (Hongrie s.d.). Selon l’article d’István Zoltán Pásztor et al., les Boyash représentent environ 8 p. 100 des Roms en Hongrie (Pásztor et al. 2016, 8). D’après un article de 2014 rédigé par Vera Messing, chargée de recherche en sociologie au Centre d’études des politiques (Center of Policy Studies) de l’Université d’Europe centrale (Central European University - CEU) et associée de recherche à l’Institut de sociologie de l’Académie hongroise des sciences (Hungarian Academy of Sciences) (CEU s.d.), les Roms boyash sont aussi désignés sous le nom de Beás (Messing 14 nov. 2014, 813).

Szilvia Lakatos affirme que les Beás parlent le ticsan, le muncsan et l’argyelan, qui sont des dialectes [traduction] « archaïques » du roumain (Lakatos 2008, 45). Le ticsan est un [traduction] « dialecte vivant » dans certains villages de la région de Tiszántúl, tandis que le muncsan et l’argyelan sont des « dialectes vivants » parlés par les Beás dans les villages du comté de Baranya (Lakatos 2008, 45). D’après Vera Messing, les Beás parlent le boyash, qui est [traduction] « une langue qui repose sur un dialecte archaïque du roumain » (Messing 14 nov. 2014, 813). Dans l’article d’István Zoltán Pásztor et al., on précise que la langue des Boyash [traduction] « est le dialecte archaïque banat issu du roumain » (Pásztor et al. 2016, 8).

Selon István Zoltán Pásztor et al., les Sinté et les Vend vivent le long de frontière occidentale de la Hongrie (Pásztor et al. 2016, 8). István Kemény affirme qu’ils vivent dans la Transdanubie (Kemény 2005, 15). D’après István Zoltán Pásztor et al., ensemble, les Sinté et les Vend représentent 1 p. 100 de la population rom en Hongrie (Pásztor et al. 2016, 8). Dans un document intitulé Glossaire sur les Roms et les Gens du voyage (Roma and Travellers Glossary), publié par le Conseil de l’Europe, il est précisé que les Sinté parlent le sinto, [version française du Conseil de l’Europe] « une version germanisée de la langue romani » (Conseil de l’Europe 11 sept. 2008, 3). Selon Romlex, le romani vend hongrois est une langue parlée dans le Sud-Ouest de la Hongrie (Romlex s.d.b).

Cette réponse a été préparée par la Direction des recherches à l’aide de renseignements puisés dans les sources qui sont à la disposition du public, et auxquelles la Direction des recherches a pu avoir accès dans les délais fixés. Cette réponse n’apporte pas, ni ne prétend apporter, de preuves concluantes quant au fondement d’une demande d’asile. Veuillez trouver ci-dessous les sources consultées pour la réponse à cette demande d’information.


Notes

[1] István Zoltán Pásztor, János Pénzes et Ágnes Pálóczi sont des chercheurs affiliés au département de géographie sociale et de planification du développement régional à l’Université de Debrecen, tandis que Patrik Tátrai est un chercheur affilié à l’Institut géographique de l’Académie des sciences de la Hongrie (Hungarian Academy of Sciences) (Pásztor et al. 2016, 5).

[2] Romlex est soutenu par le Fonds autrichien pour la science (Fonds zur Förderung der wissenschaftlichen Forschung - FWF), [traduction] « le principal organisme de financement de l’Autriche en matière de recherche fondamentale » (FWF s.d.), par les Open Society Foundations, une organisation qui milite en faveur de la responsabilité gouvernementale et l’ouverture à la participation de tous les citoyens dans plus de 100 pays (Open Society Foundations s.d.), et par la Chancellerie fédérale d’Autriche (Bundeskanzleramt Österreich) (Romlex s.d.a).

Références

Central European University (CEU). S.d. « Vera Messing ». [Date de consultation : 14 déc. 2017]

Conseil de l’Europe. 11 septembre 2008. Claire Pedotti et Michael Guet. Roma and Travellers Glossary. [Date de consultation : 20 déc. 2017]

Farkas, Tamás. 20 décembre 2017. Communication écrite envoyée à la Direction des recherches.

Farkas, Tamás. 2013. « Surnames of Ethnonymic Origin in the Hungarian Language ». Numele Şi Numirea: Actele Conferinței Internaționale de Onomasticǎ. Sous la direction d’Oliviu Felecan. Mega Edition et Argonaut Edition. [Date de consultation : 14 déc. 2017]

Fercsik, Erzsébet. 2010. « The Traditional and Modern Forms of Hungarian Female Matrimonial Names ». Atti del XXII Congresso Internazionale Antroponomastica. Sous la direction de Maria Giovanna Arcamone, Donatella Bremer, Davide De Camilli et Bruno Porcelli. Ets Edition. [Date de consultation : 11 déc. 2017]

Fonds zur Förderung der wissenschaftlichen Forschung (FWF). S.d. « FWF Austrian Science Fund ». [Date de consultation : 15 déc. 2017]

Hongrie. 2011. Közpoti Statisztikai Hivatal. Population Census 2011. « National Data ». [Date de consultation : 15 déc. 2017]

Hongrie. S.d. Igazságügyi Minisztérium, Emberi Jogi Munkacsoport Titkársága. « The Roma of Hungary ». [Date de consultation : 14 déc. 2017]

Identifiants et Référentiels (IdRef). « Kemény, István (1925-2008) ». [Date de consultation : 14 déc. 2017]

International Criminal Police Organization (INTERPOL). Mars 2006. A Guide to Names and Naming Practices. [Date de consultation : 13 déc. 2017]

Kemény, István. 2005. « History of Roma in Hungary ». Roma of Hungary. Sous la direction d’István Kemény. Social Science Monographs. [Date de consultation : 14 déc. 2017]

Kemény, István. 2002. « Linguistic Groups and Usage Among the Hungarian Gypsies/Roma ». The Gypsies/the Roma in Hungarian Society. Sous la direction d’Ernő Kállai. Teleki László Foundation. [Date de consultation : 11 déc. 2017]

Lakatos, Szilvia. 2008. « Gypsy Languages in Baranya Country ». Society and Lifestyles - Hungarian Roma and Gypsy Communities. Sous la direction de Katalin R. Forray et Zoltán Beck. University of Pécs. [Date de consultation : 15 déc. 2017]

Lonely Planet. 3 juillet 2017. Steve Fallon et Anna Kaminski. Budapest & Hungary. Lonely Planet Publications.

Marushiakova, Elena et Vesselin Popov. 2016. « Identity and Language of the Roma (Gypsies) in Central and Eastern Europe ». The Palgrave Handbook of Slavic Languages, Identities and Borders. Sous la direction de Tomasz Kamusella, Motoki Nomachi et Catherine Gibson. Palgrave Macmillan.

Messing, Vera. 14 novembre 2014. « Methodological Puzzles of Surveying Roma/Gypsy Populations ». Ethinicities. Vol. 14, no 6.

Open Society Foundations. S.d. « About Us ». [Date de consultation : 15 déc. 2017]

Országos Doktori Tanács. 2017. « Tamas Farkas - ODT Personal Data Sheet ». [Date de consultation : 15 déc. 2017]

Országos Doktori Tanács. 2013. « Erzesbet Fercsik - ODT Personal Data Sheet ». [Date de consultation : 13 déc. 2017]

Pásztor, István Zoltán, János Pénzes, Patrik Tátrai et Ágnes Pálóczi. 2016. « The Number and Spatial Distribution of the Roma Population in Hungary - In the Light of Different Approaches ». Folia Geographica. Vol. 58, no 2. [Date de consultation : 14 déc. 2017]

Rombase. Janvier 2004. « Rombase ». [Date de consultation : 14 déc. 2017]

Rombase. Février 2003. Milena Hübschmannova. « Roma - Sub Ethnic Groups ». [Date de consultation : 14 déc. 2017]

Romlex. S.d.a. « Welcome to Romlex ». [Date de consultation : 15 déc. 2017]

Romlex. S.d.b. « Romani Dialects ». [Date de consultation : 14 déc. 2017]

Society and Lifestyles (SAL). 20 mars 2009. « Society and Lifestyles: Towards Enhancing Social Harmonisation Through Knowledge of Subcultural Communities ». [Date de consultation : 14 déc. 2017]

University of Pécs. S.d. « Dr. Lakatos Szilvia ». [Date de consultation : 15 déc. 2017]

Autres sources consultées

Sources orales : European Roma Rights Centre; Minority Rights Group International; professeur auxiliaire qui s’intéresse aux Roms à l’Université de Pécs; professeur d’anthropologie qui se spécialise dans les Roms et la Hongrie à l’Université Christopher Newport; professeur de linguistique à l’Université Eötvös Loránd à Budapest; professeur qui s’intéresse aux études roms et à la sociologie de l’éducation à l’Université de Pécs; professeur qui s’intéresse à la sociolinguistique, à l’usage des langues minoritaires et à la langue beás à l’Université de Pécs.

Sites Internet, y compris : ecoi.net; Minority Rights Group International; Nations Unies – Refworld.

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