Lebanon: Hezbollah [Hizbollah, Hizbullah], including political participation and representation, military activities and areas under control; recruitment practices, including consequences for those who refuse to join; whether Hezbollah targets any segments of society for recruitment, including Lebanese citizens returning from abroad; ability to locate an individual in the country; state protection available (2016-November 2018) [LBN106189.E]

Liban : information sur le Hezbollah [Hizbollah, Hizbullah], y compris la participation et la représentation politiques, les activités militaires et les régions sous son contrôle; les méthodes de recrutement, y compris les conséquences subies par les personnes qui refusent d’y adhérer; information indiquant si le Hezbollah cible certains segments de la société à des fins de recrutement, y compris les citoyens libanais qui reviennent de l’étranger; information sur la capacité de trouver une personne dans le pays; la protection offerte par l’État (2016-novembre 2018)

1. Participation et représentation politiques

La Jamestown Foundation, qui fournit des services [traduction] « de recherche et d’analyse sur les conflits et l’instabilité en Eurasie » (The Jamestown Foundation s.d.), signale que le Hezbollah est [traduction] « un parti politique ayant d’importants moyens au chapitre de l’aide sociale » (The Jamestown Foundation 22 janv. 2016, 10). D’après un profil du Hezbollah réalisé par la BBC, le Hezbollah est une [traduction] « organisation politique, militaire et sociale » au Liban (BBC 15 mars 2016).

Selon des sources, le Hezbollah a remporté 13 sièges lors des élections de 2018 (É.-U. 11 mai 2018; Lebaneseelections.com 2018). On peut lire dans un article de mai 2018 publié par le Service de recherche du Congrès (Congressional Research Service - CRS) [1] des États-Unis que le Hezbollah fait partie d’une coalition politique appelée l’alliance du [traduction] « 8 mars » avec « le mouvement Amal chiite, le Courant patriotique libre (CPL) chrétien maronite et d’autres partis alliés » (É.-U. 11 mai 2018). De même, la Jamestown Foundation souligne que le Hezbollah a créé [traduction] « une alliance politique avec des factions chrétiennes maronites, des Druzes laïcs et même des chiites du mouvement Amal » (The Jamestown Foundation 22 janv. 2016, 10-11). D’après l’article du CRS, la coalition formée par le Hezbollah a remporté suffisamment de sièges lors des élections de mai 2018 pour [traduction] « obtenir une majorité simple » au parlement (É.-U. 11 mai 2018). De même, l’Encyclopaedia Britannica fait observer que l’alliance du 8 mars a remporté une majorité de sièges lors des élections de mai 2018, [traduction] « faisant du Hezbollah une force politique dominante pour la première fois » (Encyclopaedia Britannica [2018]). Il est écrit dans le Washington Post que, après les élections de mai 2018, la coalition du Hezbollah est devenue [traduction] « le premier groupe parlementaire en importance » (The Washington Post 11 mai 2018).

Reuters signale que, au sein du gouvernement sortant, les ministères de l’Industrie et de la Jeunesse et des Sports revenaient au Hezbollah et que, selon un haut fonctionnaire libanais, le parti ne cherche pas à obtenir les portefeuilles des Finances, de la Défense ou des Affaires étrangères, ni le ministère de l’Intérieur (Reuters 23 mai 2018). Parmi les sources qu’elle a consultées dans les délais fixés, la Direction des recherches n’a pas trouvé d'autres renseignements allant dans le même sens.

2. Activités militaires

Selon le Conseil de sécurité des Nations Unies, [version française des Nations Unies] « la branche armée du Hezbollah est la milice la plus importante et la plus lourdement armée du Liban » (Nations Unies 21 oct. 2016, paragr. 31). Il est écrit dans les Country Reports on Terrorism 2016 publiés par le Département d’État des États-Unis que le Hezbollah compte des [traduction] « [d]izaines de milliers de sympathisants et de membres dans le monde entier » (É.-U. 19 juill. 2017a). D’après des sources, le Hezbollah dispose d’environ 30 000 combattants (AP 18 déc. 2015; Financial Times 14 févr. 2017) ou de plus de [traduction] « 20 000 combattants ayant reçu une instruction complète […] auxquels s’ajoutent des dizaines de milliers de réservistes à temps partiel » (MEI nov. 2017, 6).

Des sources précisent que le Hezbollah mène des combats [traduction] « dans de nombreuses régions de la Syrie » (É.-U. 19 juill. 2017a) ou qu’il a fait une percée un peu partout en Syrie (International Crisis Group 14 mars 2017, 5; AP 18 déc. 2015). Dans un article de 2016 publié dans la section [traduction] « Déclarations du Hezbollah » d’Al-Manar, un site de nouvelles en ligne pro-Hezbollah couvrant les « événements importants survenus dans les États arabes » (Al-Manar s.d.), il est écrit que le Hezbollah [traduction] « mène des opérations antiterrorisme en Syrie » (Al-Manar 11 sept. 2016).

2.1 Régions sous le contrôle du Hezbollah

Des sources signalent que le Hezbollah possédait toujours la [traduction] « gouvernance de facto » dans le Sud du Liban (MRG 19 juin 2015) ou qu’il est établi dans le Sud du Liban et la vallée de la Beqaa (É.-U. 19 juill. 2017a). Des sources précisent que le Hezbollah contrôle des banlieues sud de Beyrouth (É.-U. 20 avr. 2018, 18; R.-U. 22 juin 2018, paragr. 10.1.1). L’International Crisis Group désigne al-Maamoura comme étant le bastion du Hezbollah au sud de Beyrouth (International Crisis Group 23 févr. 2016, 9). D’après la Jamestown Foundation, le Hezbollah a une [traduction] « forte présence » dans le district de Bourj el-Barajneh, « un quartier mixte, mais principalement chiite » du Sud de Beyrouth (The Jamestown Foundation 22 janv. 2016, 9). Dans les Country Reports on Human Rights Practices for 2017 publiés par le Département d’État des États-Unis, il est écrit que le Hezbollah garde actifs des points de contrôle [traduction] « dans certaines régions majoritairement chiites » (É.-U. 20 avr. 2018, 18). Selon l’International Religious Freedom Report for 2016 publié par le Département d’État des États-Unis, le Hezbollah a la mainmise des points de contrôle qu’il faut passer pour avoir accès à la Dahiye, la banlieue sud de Beyrouth (É.-U. 15 août 2017, 7). On peut lire dans les Country Reports 2016 publiés par les États-Unis que certains campus de l’Université Libanaise à Beyrouth se trouvent sur le territoire contrôlé par le Hezbollah, [traduction] « y compris le campus principal et les antennes [universitaires] du Sud » (É.-U. 3 mars 2017, 17). La même source ajoute que certains campus de l’Université Libanaise [traduction] « accueillent des étudiants affiliés » au Hezbollah (É.-U. 3 mars 2017, 16). Parmi les sources qu’elle a consultées dans les délais fixés, la Direction des recherches n’a pas trouvé d'autres renseignements allant dans le même sens.

Les Country Reports 2017 publiés par les États-Unis signalent que les organes de presse doivent obtenir la permission de la [traduction] « branche responsable des médias » du Hezbollah s’ils veulent assurer une couverture dans les régions contrôlées par le groupe (É.-U. 20 avr. 2018, 12). La même source explique aussi que les ONG établies dans les régions sous l’emprise du Hezbollah se font [traduction] « harceler et intimider, notamment en subissant des pressions sur les plans social, politique et financier », et que le Hezbollah « aurait payé des jeunes oeuvrant pour des ONG "inacceptables" afin qu’ils quittent [c]es groupes » (É.-U. 20 avr. 2018, 16). Parmi les sources qu’elle a consultées dans les délais fixés, la Direction des recherches n’a pas trouvé d'autres renseignements allant dans le même sens.

Il est écrit dans les Country Reports on Terrorism 2016 publiés par les États-Unis que le Hezbollah [traduction] « a la capacité de mener ses activités partout dans le monde » (É.-U. 19 juill. 2017a). Se fondant sur des renseignements fournis par diverses sources de 2009 à 2017, l’International Crisis Group signale que le Hezbollah est actif en Syrie, en Iraq et au Yémen, [traduction] « bien que l’ampleur de son implication dans ces pays demeure l’objet de suppositions » (International Crisis Group 14 mars 2017, 1).

2.2 Méthodes de recrutement

La Jamestown Foundation signale que, selon des sources libanaises et comme le signale le journal de Beyrouth Daily Star, le Hezbollah [traduction] « a commencé à recruter des chrétiens, des Druzes et des sunnites dans sa lutte contre le groupe armé État islamique à la fin de 2014 » [2] (The Jamestown Foundation 22 janv. 2016, 11). Parmi les sources qu’elle a consultées dans les délais fixés, la Direction des recherches n’a pas trouvé d'autres renseignements allant dans le même sens.

L’International Crisis Group souligne que le Hezbollah, depuis qu’il a commencé à se mêler de la situation en Syrie, a augmenté son nombre de recrues [traduction] « au sein de la communauté chiite du Liban, y compris en offrant une instruction et des avantages pécuniaires » (International Crisis Group 14 mars 2017, 6). De même, selon un article de 2015 de l’Associated Press (AP) republié par le journal en ligne Times of Israel, le Hezbollah [traduction] « mène une vaste campagne de recrutement » au sein de la communauté chiite libanaise depuis qu’il s’immisce dans les affaires de la Syrie (AP 18 déc. 2015). La même source ajoute ce qui suit :

[traduction]

Certains combattants d’élite touchent plus de 2 000 $ par mois pour leur déploiement en Syrie, ce qui correspond à un très bon salaire dans un contexte libanais.

[…]

Le Hezbollah offre des avantages qui motivent aussi les gens à s’enrôler. Les enfants de combattants bénéficient de la gratuité scolaire jusqu’à l'obtention d’un diplôme universitaire. Si un combattant est tué, sa famille continue à recevoir une pension; s’il est blessé, les soins dont il a besoin lui sont offerts gratuitement dans les hôpitaux du groupe (AP 18 déc. 2015).

Le Monde diplomatique, un journal français, rapporte que, même si la prolongation du conflit en Syrie a contraint le Hezbollah à « diminuer les salaires et les aides qu’il accorde à ses membres », il reste « un débouché attractif » (Le Monde diplomatique avr. 2016). Sans fournir d’autres détails, l’International Crisis Group déclare que, selon une entrevue réalisée en 2016 à Beyrouth auprès d’un [traduction] « clerc iraquien ayant des liens avec le Hezbollah », le mausolée de Saïda Zeinab à Damas mobilise les jeunes chiites libanais pour le combat en Syrie (International Crisis Group 14 mars 2017, 8). D’après la section des [traduction] « Déclarations du Hezbollah » dans le site Web d’Al-Manar, le Hezbollah a des combattants en Syrie (Al-Manar 11 sept. 2016). La BBC signale que [traduction] « des milliers d’activistes du Hezbollah sont partis se battre » en Syrie (BBC 15 mars 2016). En 2015, l’AP a rapporté que, au dire du dirigeant du [traduction] « Centre pour le Moyen-Orient, institut d’études et de recherches en matière de politique [Middle East Center for Studies and Political Research] établi à Beyrouth », le Hezbollah comptait environ 3 000 combattants en Syrie (AP 18 déc. 2015). Au début de 2016, la Jamestown Foundation a signalé que le nombre de combattants du Hezbollah en Syrie s'élevait à 6 000 (The Jamestown Foundation 22 janv. 2016, 10).

Se fondant sur des entrevues réalisées en 2016, l’International Crisis Group explique que le Hezbollah embauche maintenant ses recrues par contrat et leur fait suivre une instruction [traduction] « plus courte » [que par le passé], « mettant [ainsi] un terme à une pratique de longue date » (International Crisis Group 14 mars 2017, 7). L’article de l’AP, qui couvre aussi l’instruction des combattants destinés à être déployés en Syrie, signale que [traduction] « [p]lusieurs habitants du Sud du Liban dont des proches se battent [pour le Hezbollah] en Syrie ou [qui] ont suivi l’instruction donnée [par le groupe] » ont dit que cette instruction durait entre 60 et 90 jours (AP 18 déc. 2015). Selon la même source, les habitants ont expliqué que les combattants du Hezbollah [traduction] « étaient auparavant préparés à faire la guerre de manière conventionnelle contre Israël, mais ils sont aujourd’hui entraînés aux batailles de rue et aux tactiques visant à contrer l’insurrection pour mater les rebelles » (AP 18 déc. 2015).

Le site de nouvelles en ligne Middle East Eye (MEE) signale que, depuis que le Hezbollah est entré dans l’équation en Syrie, il a [traduction] « dû augmenter de manière exponentielle son nombre de recrues. Il a élargi son bassin de recrutement en assouplissant des critères autrefois stricts par rapport à l’âge et à l’idéologie » (MEE 1er nov. 2018). Des sources précisent que le Hezbollah recrute de [traduction] « jeunes hommes » (International Crisis Group 14 mars 2017, 5) ou que [traduction] « des milliers de volontaires âgés de 17 ans et plus ont suivi l’instruction [du Hezbollah] au cours des dernières années » (AP 18 déc. 2015). Le Monde diplomatique rapporte que, selon un acteur du « secteur culturel » travaillant dans le Sud du Liban, les enfants peuvent participer aux « "camps scouts" » du Hezbollah et, lorsqu’ils ont environ 16 ans, « "on leur donne le goût du combat" » (Le Monde diplomatique avr. 2016).

Parmi les sources qu’elle a consultées dans les délais fixés, la Direction des recherches n’a trouvé aucun renseignement concernant les conséquences subies par les personnes qui refusent d’adhérer au Hezbollah.

Parmi les sources qu’elle a consultées dans les délais fixés, la Direction des recherches n’a trouvé aucun renseignement indiquant si le Hezbollah cible les citoyens libanais revenant de l’étranger dans ses efforts de recrutement.

2.3 Capacité de trouver une personne

Parmi les sources qu’elle a consultées dans les délais fixés, la Direction des recherches a trouvé peu de renseignements concernant la capacité du Hezbollah de trouver une personne dans le pays.

D’après les Country Reports on Terrorism 2016 publiés par les États-Unis, le Hezbollah [traduction] « exerçait une influence sur certains éléments des services de sécurité du Liban » (É.-U. 19 juill. 2017b). De même, le rapport de 2016 d’une mission d’enquête préparé par le Service de l’immigration de la Finlande (Finnish Immigration Service) précise que, selon un professeur de l’Université américaine de Beyrouth, le Hezbollah [traduction] « peut trouver n’importe qui au Liban au moyen de la [Direction générale de la sûreté générale (DGSG)] » en raison de la « relation étroite » qu’entretiennent le Hezbollah et la DGSG (Finlande 29 sept. 2016, 21-22). Les Country Reports 2017 publiés par les États-Unis signalent que le Hezbollah [traduction] « avait recours à des réseaux d’informateurs et à la surveillance téléphonique pour obtenir des renseignements sur ses adversaires présumés » (É.-U. 20 avr. 2018, 11).

3. Protection offerte par l’État

Le Conseil de sécurité des Nations Unies signale que le Hezbollah [version française des Nations Unies] « conserve une capacité paramilitaire en marge de l’autorité de l’État » (Nations Unies 21 oct. 2016, paragr. 46). Il est également écrit dans les Country Reports 2017 publiés par les États-Unis que le Hezbollah opère de manière complètement indépendante du gouvernement libanais (É.-U. 20 avr. 2018, 1). De même, Freedom House souligne que, [traduction] « en pratique », l’autorité du gouvernement du Liban est limitée en raison « du pouvoir qu’exercent des groupes d’activistes autonomes comme le Hezbollah » (Freedom House 2018). On peut lire dans les Country Reports 2017 publiés par les États-Unis que les forces gouvernementales [traduction] « étaient généralement incapables de faire appliquer la loi » dans les régions sous le contrôle du Hezbollah (É.-U. 20 avr. 2018, 18).

Selon les Country Reports on Terrorism 2016 publiés par les États-Unis,

[traduction]

[l]e gouvernement du Liban n’a pas pris de mesure significative pour désarmer le Hezbollah ou le priver de ses refuges en territoire libanais, et il n’a pas non plus cherché à limiter les déplacements de ses membres à destination et en provenance de la Syrie dans leur lutte à l’appui du régime Assad ou à destination et en provenance de l’Iraq. […] [Le Hezbollah jouissait] d’une certaine impunité dans toutes ses opérations (É.-U. 19 juill. 2017b).

On peut lire dans les Country Reports 2017 publiés par les États-Unis que le Hezbollah [traduction] « a continué à procéder à des arrestations et à des détentions extrajudiciaires, dont la détention sans contact avec l’extérieur » (É.-U. 20 avr. 2018, 8), et « aurait exploité des établissements de détention non officiels, mais aucun renseignement n’a pu être trouvé au sujet de ces établissements » (É.-U. 20 avr. 2018, 5). Parmi les sources qu’elle a consultées dans les délais fixés, la Direction des recherches n’a pas trouvé d'autres renseignements allant dans le même sens.

Cette réponse a été préparée par la Direction des recherches à l'aide de renseignements puisés dans les sources qui sont à la disposition du public, et auxquelles la Direction des recherches a pu avoir accès dans les délais fixés. Cette réponse n'apporte pas, ni ne prétend apporter, de preuves concluantes quant au fondement d'une demande d'asile. Veuillez trouver ci-dessous les sources consultées pour la réponse à cette demande d'information.

Notes

[1] Le Service de recherche du Congrès (Congressional Research Service - CRS) fournit des services d’analyse stratégique et juridique aux comités et aux membres du Congrès des États-Unis (É.-U. s.d.).

[2] Selon Mona Alami, une chercheuse non résidente du Centre Rafik Hariri pour le Moyen-Orient (Rafik Hariri Center for the Middle East) du Conseil de l’Atlantique (Atlantic Council), un groupe de réflexion dont le siège se trouve aux États-Unis (Atlantic Council s.d.a) et dont les travaux portent sur les affaires internationales (Atlantic Council s.d.b), l’offensive du Hezbollah contre un ancien groupe affilié à Al-Qaïda et le groupe armé État islamique (EI) [État islamique d’Irak et d’al-Cham (EIIC), État islamique en Irak et au Levant (EIIL), Daech] à la frontière syro-libanaise en 2017 [traduction] « a donné de la crédibilité au scénario de la "résistance [du Hezbollah] aux takfiri", a davantage ancré sa position chez ses électeurs - principalement chiites - et lui a permis d’atteindre des communautés sur lesquelles il n’avait traditionnellement pas de prise, à savoir les chrétiens et les sunnites » (Alami 28 févr. 2018).

L’AP signale que [traduction] « la chaîne de télévision Al-Manar du Hezbollah diffuse souvent des vidéos encourageant les chiites à se joindre au combat contre les takfiri, un terme [qu’ils utilisent pour désigner] les fondamentalistes sunnites » (AP 18 déc. 2015).

Références

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Al-Manar. S.d. « About Us ». [Date de consultation : 1er nov. 2018]

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The Washington Post. 11 mai 2018. Amanda Rizkallah. « What Can We Learn from Lebanon's Elections? ». [Date de consultation : 30 oct. 2018]

Autres sources consultées

Sites Internet, y compris : Al Jazeera; Al-Monitor; Amnesty International; Council on Foreign Relations; ecoi.net; Haaretz; Human Rights Watch; Institut de relations internationales et stratégiques; Jane's Intelligence Review; The National; Nations Unies – Refworld; Political Handbook of the World; The Washington Institute for Near East Policy.

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