Follow-up to CHN33861.E of 24 February 2000 regarding the manufacture, procurement, distribution and use of fraudulent documents [CHN34241.E]

L'information suivante a été fournie par la Section des enquêtes du ministère de l'Immigration du gouvernement de la Région administrative spéciale de Hong Kong (28 mars 2000).

Selon la Section des enquêtes, en 1998, des 3 594 documents contrefaits interceptés, 2 415 étaient utilisés par des ressortissants de la République populaire de Chine (RPC); en 1999, des 3 530 documents contrefaits interceptés, 2 624 étaient utilisés par des ressortissants de la RPC.

Les 10 sortes de documents contrefaits les plus utilisés par les ressortissants de la RPC en 1998 étaient des passeports de la RPC (1 108), des passeports de la Sierra Leone (199), des permis aller-retour de la RPC (pour se déplacer entre la RPC, Hong Kong et Macao) (190), des passeports pour les ressortissants britanniques à l'étranger (95), des passeports des États-Unis (62), des passeports de la Corée (58), des passeports du Japon (38), des passeports de Taïwan (32), des passeports de la Malaisie (30) et des passeports des Philippines (10). Les 10 sortes de documents contrefaits les plus utilisés par les ressortissants de la RPC en 1999 étaient des passeports de la RPC (1 170), des permis aller-retour de la RPC (343), des passeports pour les ressortissants britanniques à l'étranger (149), des passeports des États-Unis (85), des passeports de Taïwan (43), des passeports du Japon (38), des passeports de la Corée (37), des passeports du Canada (33), des permis de réentrée aux États-Unis (30) et des passeports de Nauru (12).

Les cinq principales destinations étrangères des ressortissants de la RPC interceptés en possession de documents contrefaits en 1998 étaient, en pourcentage, les États-Unis (14,7), le Canada (12,5), la France (6,0), le Japon (3,1) et l'Australie (2,2). En 1999, les cinq destinations principales étaient, en pourcentage, les États-Unis (18,7), le Canada (6,1), la Hollande (3,4), l'Australie (2,8) et la France (2,2).

Cette réponse n'apporte pas, ni ne prétend apporter, de preuves concluantes quant au fondement d'une demande d'asile ou de statut de réfugié.

Référence


Section des enquêtes, ministère de l'Immigration du gouvernement de la Région administrative spéciale de Hong Kong. 28 mars 2000. Communication écrite.

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