Situation of ethnic Chinese Christians in Indonesia (2001 - 2003) [IDN42199.E]

La population chrétienne d'Indonésie se concentre principalement dans l'est du pays (ICT 19 déc. 2001; International Religious Freedom Report 2002 7 oct. 2002, sect. 1), particulièrement dans les provinces de Nusa Tenggara, des Moluques, des Moluques du Nord, du Sulawesi du Nord et de Papua; cependant, une [traduction] « importante » population chrétienne habite également les provinces de Sumatra du Nord, du Kalimantan occidental, du Kalimantan central et de l'île de Java (ibid.). En décembre 2001, l'Institut international de politique sur le contre-terrorisme (International Policy Institute for Counter-Terrorism - ICT) a énoncé que la population chrétienne se concentrait également dans les villes principales d'Indonésie (19 déc. 2001). Environ 3 p. 100 de la population indonésienne est d'ethnie chinoise (Country Reports 31 mars 2003, sect. 5.c), chrétienne en majorité (The Straits Times 6 janv. 2000; AP 28 août 2001; ICT 19 déc. 2001). En décembre 2001, les chrétiens formaient 5 p. 100 (10,5 millions) de la population totale de l'Indonésie (210 millions de personnes) (ibid.).

Selon le New York Times, la culture indonésienne est traditionnellement [traduction] « tolérante et diversifiée à l'extrême » (New York Times 29 déc. 2001). La BBC a également signalé que l'Indonésie, formée d'environ 17 000 îles (CFI 24 sept. 2003), est [traduction] « un très grand pays », en général [traduction] « pacifique et tolérant », et que la violence entre les groupes ethniques et religieux est [traduction] « souvent, à ce qu'il semble, l'œuvre d'agents provocateurs » (BBC 18 août 2001). Toutefois, selon l'International Religious Freedom Report 2002, les pratiquants des religions minoritaires et les musulmans modérés [traduction] « s'inquiètent de plus en plus » de la montée de l'intolérance religieuse exprimée par les fondamentalistes musulmans envers les membres des minorités religieuses, dont les chrétiens (7 oct. 2002, sect. III).

Aucune information concernant la situation des chrétiens indonésiens d'ethnie chinoise en particulier n'a pu être trouvée parmi les sources consultées par la Direction des recherches. Celles-ci font cependant mention des personnes d'ethnie chinoise, sans parler de leur religion, ou des chrétiens, sans parler de leur ethnie.

Situation des personnes d'ethnie chinoise

Selon un rapport du Groupe international pour les droits des minorités (Minority Rights Group International - MRG) intitulé Indonesia: Regional Conflicts and State Terror,

[traduction]
il existe un profond ressentiment envers les Chinois en Indonésie. Ils n'ont jamais été acceptés en tant que citoyens à part entière; autrefois, on leur interdisait de prendre part à la vie politique et ils ne pouvaient pas s'engager dans l'armée ou la fonction publique. Il y avait également, sur leur carte d'identité obligatoire, un code spécial signalant leur ethnie chinoise. Les Chinois d'Indonésie devaient abandonner leur nom chinois et adopter un patronyme indonésien. Sur le plan politique, on les traitait comme des étrangers, malgré leur contribution à l'économie (2001, 7).

Au milieu des années 1960, ceux que le MRG a décrit comme les [traduction] « éléments de droite » de l'Indonésie, c'est-à-dire l'armée et les groupes de musulmans conservateurs, ont associé communauté chinoise et communisme; ce parallèle a poursuivi les Chinois au moins jusqu'en 1999 (MRG 2001, 10). De plus, en 1997, la communauté chinoise a [traduction] « été injustement rendue responsable de l'effondrement économique », ce qui en a fait [traduction] « une cible facile » pour les actes de violence entraînés par la crise monétaire (ibid.). Selon le directeur exécutif de la division Asie de l'organisation Human Rights Watch, [traduction] « les personnes d'ethnie chinoise sont, bien sûr, une cible perpétuelle lors de chaque période d'agitation sociale » en Indonésie (HRW 24 oct. 2000). Cette information avait également été communiquée en 2001 par l'ICT (19 déc. 2001) et en 2002 par Paul Marshall (The New York Post 15 oct. 2002), l'agrégé supérieur de recherches de l'Institut Claremont pour l'étude de la qualité d'homme d'État et de la philosophie politique (Claremont Institute for the Study of Statesmanship and Political Philosophy) et du Centre pour la liberté de religion (Center for Religious Freedom) de l'organisation Freedom House, et l'auteur de nombreux ouvrages dont Islam at the Crossroads: Understanding Its Beliefs, History and Conflicts (Claremont Institute s.d.).

Lors de la crise financière asiatique de 1997, [traduction] « [d]e nombreux commerces appartenant à des Chinois d'Indonésie ont été détruits » (MRG 2001, 10). De plus, [traduction] « des Chinoises ont été traquées et violées par des gangs en apparence bien organisés » (ibid.). Ces agressions visaient des personnes d'ethnie chinoise en partie parce qu'elles [traduction] « semblaient avoir bénéficié plus que d'autres des politiques économiques; [par conséquent], lors de la crise économique asiatique, ce sont les commerçants chinois qui avaient été accusés d'amasser des biens » (HRW 24 oct. 2000).

En février 2003, le Philadelphia Inquirer, citant un prêtre catholique d'Indonésie résidant dans le sud de Philadelphie, a énoncé que [traduction] « [s']il y a de l'agitation en Indonésie, les victimes en sont toujours des chrétiens ou (des personnes d'ethnie) chinoise » (18 févr. 2003).

Cependant, la directive présidentielle implantée par le président Suharto, qui avait interdit pendant 32 ans l'utilisation de symboles chinois et restreint la pratique de diverses autres traditions culturelles chinoises, a été révoquée en 1999 par le président Wahid (MRG 2001, 8) qui, tout au long de sa présidence, a prôné la tolérance religieuse et a défendu les Indonésiens d'ethnie chinoise et de religion chrétienne (Daily Telegraph 23 juin 2001; UPI 31 mai 2001; ibid. 3 mars 2001). Bien que ce geste ait été destiné à rendre les membres de la communauté d'ethnie chinoise libres d'affirmer leur culture, de parler leur langue et de pratiquer leur religion, ceux-ci étaient réticents à le faire ouvertement, de peur de devenir la [traduction] « cible d'un fort sentiment anti-chinois » (MRG 2001, 8). Selon un article de la BBC de juin 2001 rédigé trois ans après la révocation de la directive présidentielle, il n'était toujours pas permis au Chinois d'Indonésie d'utiliser leurs noms chinois; plutôt, ils devaient utiliser [traduction] « des noms à consonance indonésienne ou renoncer à leur citoyenneté » (28 juin 2001).

En 2001, l'Associated Press (AP) a signalé [traduction] « [qu']après des générations de discrimination souvent doublée de violence, de nouvelles lois ont contribué à apaiser la vieille haine, et nombre des 7 millions de citoyens indonésiens d'ethnie chinoise affichent maintenant un certain optimisme à l'égard de l'avenir » (28 août 2001). Même si selon, par exemple, le Département d'État des États-Unis, [traduction] « il y avait eu [en 2002] des cas de discrimination et de harcèlement » envers des personnes d'ethnie chinoise en Indonésie (Country Reports 31 mars 2003, sect. 5.c), Freedom in the World 2003 a énoncé que le niveau de violence était [traduction] « beaucoup moindre qu'à la fin des années 1990, lorsque des attentats violents ont fait des centaines de victimes et détruit de nombreux commerces chinois ainsi que des églises » (Freedom House 2003). Toutefois, la violence exercée envers les chrétiens et les personnes d'ethnie chinoise dans l'île centrale de Java est en hausse depuis 2000 (New York Post 15 oct. 2002).

En 2003, le nouvel an chinois, célébré le 25 février, est officiellement devenu un jour férié (International Religious Freedom Report 2002 7 oct. 2002, sect. II), et les chrétiens chinois l'ont célébré sans incident dans des églises de Jakarta (Jakarta Post 15 févr. 2003).

Pour obtenir d'autres renseignements sur la situation des personnes d'ethnie chinoise en Indonésie, veuillez consulter « National/Racial/Ethnic Minorities » dans la section 5 des Country Reports on Human Rights Practices for 2002.

La situation des chrétiens

La constitution indonésienne prévoit la liberté de religion; cependant, certaines activités religieuses et certaines religions qui n'en ont pas le statut officiel font l'objet de restrictions (International Religious Freedom Report 2002 7 oct. 2002, sect. II). Officiellement, le gouvernement d'Indonésie ne reconnaît que l'islam, le catholicisme, le protestantisme, le bouddhisme et l'hindouisme (ibid.).

Les écoles publiques doivent enseigner aux élèves des niveaux primaire et secondaire les préceptes de l'une des cinq religions officiellement reconnues; cependant, [traduction] « en pratique, peu d'écoles offrent des cours sur toutes les religions officielles, et dans bien des cas, en offrent sur l'une d'entre elles seulement » (ibid.).

En septembre 2003, certaines sources de l'organisation Liberté chrétienne internationale (Christian Freedom International - CFI), dont les identités ont été gardées secrètes pour des raisons de sécurité, ont affirmé que [traduction] « même des chrétiens possédant des références professionnelles et une scolarité avancée se voient refuser du travail et de l'avancement sur le marché du travail » (CFI 24 sept. 2003). Le CFI, au moyen de l'histoire d'un comptable indonésien et chrétien, a illustré son affirmation selon laquelle on se servait de violence pour atteindre des objectifs d'affaires (ibid.). Apparemment, le comptable s'était associé avec un musulman de sa connaissance parce que [traduction] « les entrepreneurs chrétiens, qui ont peu de revenus ou qui sont sans emploi, cherchaient souvent des capitaux de placement auprès de musulmans riches » (ibid.). Le musulman avait avancé l'argent nécessaire à l'établissement d'une firme comptable; cependant, quatre ans plus tard, lorsque la firme avait commencé à être rentable, le musulman avait exigé une somme supérieure à celle qui avait été convenue (ibid.). Devant le refus du comptable, le musulman [traduction] « l'avait accusé de soutenir la guérilla séparatiste chrétienne et avait répandu cette rumeur à une mosquée des environs » (ibid.). Des fondamentalistes de la mosquée s'en étaient alors pris au comptable, détruisant sa voiture et saccageant son bureau (ibid.).

Diverses sources couvrant la période entre 2000 et 2003 ont fait état de conflits et de la violence entre les chrétiens et les musulmans en Indonésie (HRW 24 oct. 2000; ICT 19 déc. 2001; The New York Times 29 déc. 2001; MRG 2001; The Nation 24 janv. 2002; The New York Post 15 oct. 2002; Le Monde 23 oct. 2002; International Religious Freedom Report 2002 7 oct. 2002; HRW déc. 2002; BBC 28 avr. 2002; Philadelphia Inquirer 18 févr. 2003; ICC 16 juill. 2003; National Review Online 28 oct. 2003; CFI 24 sept. 2003; USCR 2003; Freedom House 2003; HRW 2003).

En décembre 2001, l'ICT a signalé un attentat ayant fait neuf morts et deux blessés sur un traversier qui transportait des marchands chrétiens vers la ville d'Ambon (ICT 19 déc. 2001). Le 12 décembre 2001, dans la même ville, sept personnes avaient été tuées dans l'explosion d'une bombe à bord d'un bateau commercial transportant des passagers chrétiens (ibid.). Ces attentats se sont produits à la suite d'une reprise des affrontements entre les musulmans et les chrétiens dans la ville de Poso, dans la province du Sulawesi central (ibid.), et avant l'explosion de 20 bombes [traduction] « près d'églises chrétiennes dans neuf villes d'Indonésie », qui ont fait 18 morts le 24 décembre 2001 (Le Monde 23 oct. 2003).

Le gouvernement municipal d'Ambon a soupçonné des groupes paramilitaires musulmans d'être les auteurs des attentats (ICT 19 déc. 2001). La Laskar Jihad (LJ) (ibid.) ou Armée de la guerre sainte (Holy War Army) (ICC 16 juill. 2003) a été considérée comme suspect principal. Selon la BBC, la Laskar Jihad est une [traduction] « organisation paramilitaire [qui a] envoyé dans l'est de l'Indonésie des centaines de guerriers de Java; ils y ont pris part à des attentats contre des chrétiens » (28 avr. 2002). Selon un article publié dans le quotidien de Bangkok The Nation, [traduction] « la mission avouée [de la LJ] est de défendre les musulmans contre ce qu'elle avait qualifié d'"attentats chrétiens" dans les îles indonésiennes des Moluques et de Sulawesi » (24 janv. 2002). Selon l'organisation Intérêt chrétien international (International Christian Concern - ICC), la LJ est une [traduction] « soi-disant armée de guerriers islamiques engagés dans une "guerre sainte" contre les chrétiens » (16 juill. 2003). Jafar Umar Thalib, le chef du groupe, [traduction] « entretiendrait des liens étroits avec l'ancien régime de l'ex-dictateur Suharto » et aurait [traduction] « intensifié ses activités dans la province de Papua » (BBC 28 avr. 2002). À la suite du traité de paix signé en décembre 2001 dans la province du Sulawesi central et du traité signé en février 2002 aux Moluques (International Religious Freedom Report 2002 7 oct. 2002), la LJ a officiellement été démantelée le 12 octobre 2002; toutefois, [traduction] « on craint que [le groupe] soit seulement entré dans la clandestinité » (ICC 16 juill. 2003). Pour obtenir d'autres renseignements sur la LJ, veuillez consulter IDN38456.E du 22 février 2002, IDN39734.E du 12 septembre 2002, IDN39735.E du 20 septembre 2002 et IDN40527.E du 15 novembre 2002.

En 2001, l'ICT a fait remarquer qu'Ambon, capitale de la province des Moluques, était [traduction] « déchirée depuis trois ans par la violence sectaire entre les musulmans et les chrétiens » (19 déc. 2001). Entre janvier 1999, début de la violence, et décembre 2001, plus de 5 000 membres des deux communautés avaient trouvé la mort et environ 500 000 d'entre eux, en majorité des chrétiens, avaient [traduction] « fui la province [des Moluques] lorsqu'ils ont su que des mercenaires islamistes étrangers affluaient dans les îles » (ICT 19 déc. 2001). À Sulawesi, en date du 19 décembre 2001, au moins 1 000 personnes avaient été tuées à la suite de semblables démonstrations de violence (ibid.). Le New York Times a corroboré l'information concernant la violence et les victimes dans la province des Moluques; il a également signalé que [traduction] « les guerres communales qui ont eu lieu sur les îles de Sulawesi et des Moluques ont donné lieu aux affrontements les plus sanglants entre les musulmans et les chrétiens » (The New York Times 29 déc. 2001). Le MRG a qualifié de [traduction] « guerre civile » les affrontements survenus à Ambon et dans d'autres régions de la province des Moluques (MRG 2001, 14). Bien que la violence dans la province des Moluques ait diminué en 2002 par rapport à 2000 et à 2001 (International Religious Freedom Report 2002 7 oct. 2002, sect. III), on y constatait toujours de la violence en 2002, de même qu'à Sulawesi (The New York Post 15 oct. 2002). Pour obtenir d'autres renseignements sur le conflit entre les musulmans et les chrétiens dans la province des Moluques, veuillez consulter le rapport du MRG. Pour obtenir d'autres renseignements sur la violence inter-religieuse au Sulawesi central, veuillez consulter le rapport de l'organisation Human Rights Watch (HRW) de décembre 2002 intitulé

Breakdown: Four Years of Communal Violence in Central Sulawesi.

Après la signature du traité de paix de février 2002 entre les chrétiens et les musulmans dans la province des Moluques, la violence, [traduction] « en partie liée à des disputes concernant les emplois, la propriété terrienne et d'autres questions d'ordre économique et politique », a parfois éclaté pendant l'année (Freedom House 2003).

Pour obtenir d'autres renseignements sur la situation des chrétiens en Indonésie en 2002, veuillez consulter l'International Religious Freedom Report 2002, le World Refugee Survey 2003 et le Human Rights Watch World Report 2003.

À partie de 1999, des efforts ont été faits pour séparer la police des forces armées, étant donné l'incapacité de la police à venir à bout de la violence sectaire (HRW 24 oct. 2000). Selon le directeur exécutif de l'organisation Human Rights Watch, les policiers

[traduction]
[...] étaient les représentants des forces de sécurité les moins bien entraînés et les moins bien payés; par conséquent, ils n'arrivaient pas du tout à faire respecter la loi efficacement. [...] À certains endroits comme Ambon, la police semblait prendre parti pour l'un des camps, et on a donc prétendu que la police soutenait les chrétiens et que l'armée soutenait les musulmans (ibid.).

Selon l'International Religious Freedom Report 2002, dans certaines zones de conflit,

[traduction]
[...] [c]ertaines unités militaires ont été accusées d'avoir combattu, directement ou indirectement, aux côtés de leurs coreligionnaires, du côté des musulmans comme de celui des chrétiens. L'absence de réaction du gouvernement, qui aurait dû punir les fautifs et prévenir d'autres attentats, a alimenté les allégations selon lesquelles des fonctionnaires étaient complices de certains des incidents ou, du moins, auraient permis qu'ils se produisent impunément (7 oct. 2002).

En octobre 2003, Paul Marshall a également signalé [traduction] « [qu']au cours des dernières années, les autorités ont réagi lentement, voire pas du tout, lorsque des terroristes ont tué des personnes d'ethnie chinoise [et] fait sauter des dizaines d'églises à la veille de Noël en 2000 » (National Review Online 28 oct. 2003).

Aucune autre information sur la protection offerte par l'État aux personnes d'ethnie chinoise ou aux chrétiens en Indonésie n'a pu être trouvée parmi les sources consultées par la Direction des recherches. Pour obtenir de l'information détaillée sur la violence inter-religieuse en Indonésie, veuillez consulter le document annexé de l'ICC.

Cette réponse a été préparée par la Direction des recherches à l'aide de renseignements puisés dans les sources qui sont à la disposition du public, et auxquelles la Direction des recherches a pu avoir accès dans les délais prescrits. Cette réponse n'apporte pas, ni ne prétend apporter, de preuves concluantes quant au fondement d'une demande d'asile ou de statut de réfugié. Veuillez trouver ci-dessous la liste des autres sources consultées pour la réponse à cette demande d'information.

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Document annexé


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Autres sources consultées


Bases de données de la CISR

L'organisation TAPOL, The Indonesia Human Rights Campaign, de Croydon au Royaume-Uni, n'a pas répondu à une demande d'information.

Sites Internet, y compris :

Antara

Christian Freedom International

Christian Monitor

European Country of Origin Information Network

Fondation Asie Pacifique du Canada, Asia Pacific Business

Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme

Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés

National Catholic Reporter

Royaume-Uni, Direction de l'immigration et de la nationalité

Surat Kabar

Moteur de recherche :

Google

Associated documents